Samedi 29 janvier, il presidente della Repubblica ordinando un’été réélu par le Parlement italien. Après une semaine de négociations, Sergio Mattarella est apparu comme la seule soluzione possibile. Une conséquence des veto croisés des partis, mais aussi une reconnaissance de son travail au service du pays.
Ces dernières années, l’Italie s’est découvert une passion pour les “sauveurs malgré eux”. Avant d’endosser le rôle de chef de l’exécutif, l’actuel président du Conseil, Mario Draghi, avait souvent répété qu’il n’était pas intéressé par ce poste. Tout comme lui, en 2013, l’ancien président de la République Giorgio Napolitano avait annoncé qu’il ne voulait pas poursuvre son travail de chef de l’État, avant d’être pratiquement obligé de continuer sous la pression des partis.
Ce lo scénario s’est répété à l’identique le 29 janvier, lorsque Sergio Mattarella, qui martelait pourtant depuis des mois qu’il voulait se pensioner, a été poussé par toutes les force politiques à signer pour la péné side no séré Republique. Une tâche que l’homme âgé de 80 ans dit avoir Acceptée par sens des responsabilités. Versare “ne pass se soustraire à son devoir” dans des circonstances compliquées pour le pays.
En restant à sa place, Sergio Mattarella aussi indirectement permis à Mario Draghi de poursuivre son travail de chef de l’exécutif, puisque ce dernier aurait pu ne pas rester à son poste si le nom choisi par le Parlement pour la prépublique de ne l’ avait pas satisfait. “Le rapport entre les deux hommes reste fort, écrit La Repubblica, c’est un ax qui rassure l’Europe et la communauté internationale.”
Selon le quotidien romain, en acceptant de continuous son travail malgré sa volonté de partir (il avait déjà emménagé dans un appartement privé à Rome), Mattarella a montré une nouvelle fois son caractère. Un personnage qui se caractérise par son “sens des Institutions et un besoin intérieur de ne pas se soustraire au devoir. La frutta dell’educazione cattolica. L’école de la Democratie chrétienne”.
Un frère assassiné par la mafia
C’est en effet au sein de ce parti centriste, protagoniste absolu de la vie politique italienne jusqu’à sa dissolution en 1994, que Mattarella a commencé sa longue carrière, poursuivie ensuite dans les rangs du centre gauche. Ministre de l’Education, de la Défense, vicepresidente del Consiglio e del giudice della Corte
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Beniamino Morante
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