Le point de presse di James William Awad qui devait s’expliquer jeudi matin sur le vol controversé qu’il a organisé pour un groupe d’influenceurs est loin de s’être déroulé dans les règles de l’art, alors p que les giornalista ont été minacés d’expulsion.
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“C’est une question par giornalista, il n’y a pas de ”follow-up” (question de suivi). Si vous continuez avec vos ”follow-up” vous allez être expulsés de la conférence de presse”, un fatto savoir la personne qui s’occupait d’animer le point de presse du jeune homme.
Cette façon de faire abitauelle et contraire à l’éthique est dénoncee par la Société québécoise des professionnels en relations publiques (SQPRP), qui a voulu faire connaître son point de vue à TVA Nouvelles.
«J’ai trouvé inaccettabile que la personne qui dirigeait la période de question ait minacé les journales d’être expulsés de l’édifice s’ils osaient poser plus d’une question. Menacer les journales de faire leur travail est inacceptable et ne représente pas le travail des professionnels reconnus ed expérimentés», indique par courriel Patrick Howe, presidente della SQPRP et de CONSULAT relations public.
Neanmoins, i giornalisti di TVA Nouvelles, notamment, ont réussi à poser la plupart des question auxquelles ils voulaient des réponses, sans être expulsés.
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Autre accro lors de ce point de presse : James William Awad a fait la promozione di un evento di figlio club privé rapidement dès le début de ses explications.
«Je suis estomaqué d’entendre cette personne oser, permettez-moi l’expression, ”ploguer” une promotion de la Saint-Valentin pendant sa déclaration initiale”, ajoute M. Howe, spécialiste en communication.
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