#Autres paga : Le Parlement Libyanen a annoncé lundi son intention de désigner un nouveau Premier ministre à la tête du gouvernement intérimaire, une démarche suscettibile d’exacerber les lutes de pouvoir.
Censées être l’aboutissement de la transition dopo Gheddafi, ces élections ont été reportées sine die sur fond de désaccords entre camps rivaux: un pouvoir à l’est incarné par le Parlement et l’homme fort Khalifa Haftar, et un aftar ‘Ouest autour du gouvernement d’unité nationale d’Abdelhamid Dbeibah base a Tripoli.
Le Parlement estime que le mandat de l’exécutif actuel avait expiré avec le report des élections mais Dbeibah répète à l’envi qu’il ne cédera le pouvoir qu’à un gouvernement sorti des urnes.
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A l’issue d’une session tenue à Tobrouk (est), le porte-parole du Parlement Abdallah Bliheq an annonce l’ouverture des candidatures pour le poste de Premier ministre, précisant que les candidats retenus seraient auditionnés par les députévévés par les députévés 7.
Le parlement se réunira le lendemain pour “choisir” un nouveau Premier ministre intérimaire, at-il ajouté.
“Le gouvernement continuera d’exercer ses fonctions jusqu’aux élections”, a réagi Dbeibah à l’annonce du Parlement, accusant le président de la Chambre, Aguila Saleh, un cacique de l’Est, de chercher à “entretenir les divisions” .
“La plupart des acteurs internationaux rejettent la vision du président du Parlement pour la période de transition”, at-il ajouté, cité par les médias locaux.
La démarche du Parlement ne fait pas l’unanimité, y compris parmi ses députés, dont somes avaient appélé au maintien de l’actuel gouvernement jusqu’à de future elezioni.
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La Mission d’appui de l’ONU en Libia (Manul) elle aussi insiste per qu’une nouvelle date de la présidentelle soit fixée, plutôt que d’opérer un remaniement gouvernemental.
Dans un communiqué conjoint publié fin décembre, les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne et l’Italie ont réclamé que soit décidé rapidement un nouveau calendrier elettorale.
Semblant anticiper une aggravation des lutes de pouvoir, ces cinq pays ont aussi apporté leur soutien à la poursuite du mandat de l’exécutif actuel a Tripoli jusqu’à la tenue effettivo des elezioni.
Le Parlement a appélé lundi “certains ambassadeurs”, sans les nommer, ainsi que la conseillère spéciale de l’ONU pour la Libye, Stephanie Williams, à “ne pas s’immiscer dans les affaires libyennes”, heq. M. Bli
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