Dans l’univers des télécoms européens, la nouvelle a fait l’effet d’une petite bombe. Depuis la semaine dernière, Vodafone doit composer avec un encombrant actionnaire : le fonds attivista suédois Cevian Capital. Una specialità? Inserisci au capitale d’« imprese solide » mais « négligées, méconnues ou mal perçues par les investisseurs », explique-t-il sur son site. Figlio obiettiva? « Agir généralement comme un actionnaire de référence o come un catalizzatore esterno de changement ». En clair, si les choices n’avancent pas comme il le veut, Cevian hausse le ton. Avait ainsi manœuvré chez Rexel, dont il détient encore 20% du capital, pour obtenir en 2017 le départ du directeur général du distribuur français de matériel électrique.
Chez Vodafone, Cevian n’a pas le même poids. Le fonds, qui ne fait aucun commentaire, aurait à peine 3% du capital. Mais sa présence suffit à mettre sous tension le numéro trois britannique des télécoms. Interroge mercredi 2 février lors de la presentazione dei risultati trimestrali dell’operatore, Nick Read, son director général, a botté en touche. Mieux vaut discuter en privé avec ce genere d’actionnaires.
Créé en 2002 di Lars Förberg et Christer Gardell, Cevian s’est bâti une solide réputation in Europe, devenant le premier fonds attivista du continente avec une force de frappe de l’ordre de 15 miliardi di dollari (13,3 miliardi di euro)) . De l’argent que lui confient des fondi di pensione, des fondations et des fonds souverains, en espérant qu’il le fasse fructifier.
« Signori investimenti »
Pour cela, Cevian aime les histoires qui noncessitent de se retrousser les manches, come le sidérurgiste allemand Thyssenkrupp, la banca danoise Danske Bank o l’équipementier en télécoms suédois Ericsson. Son entrée chez Vodafone ne fait pas exception : elle illustre les faiblesses de l’opérateur britannique, dont la valeur borsière a chuté de moitié en cinq ans et, plus largement, de tout un secteur.
« Les revenus des opérateurs sont sous pression, notamment en raison de la concurrence qui contraint les hausses de prix, et ils doivent dans le même temps assurancer de lourds investissements pour déployer la fibreG optique et la 5 Difficile de résoudre l’équation financière dans ces condition », explique Denis de Paillerets, responsabile mondiale della TMT (technologie-médias-télécoms) à la Société générale. Selon l’agence de notation Fitch, les opérateurs européens ont investi plus de 220 miliardi di euro en quatre ans.
L’américain Elliott, più l’attivista del Gros Fonds au monde, s’était essayé aux télécoms en renversant en 2018 le conseil d’administration de Telecom Italia, l’opérateur contrôlé par Vivendi. Mais la guerra di posizioni impegnate per il gruppo di Vincent Bolloré a eu raison de sa motivazione. Surtout, à l’époque, le secteur n’était peut-être pas aussi mûr qu’aujourd’hui pour engagementr sa réforme.
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