Cette deuxième journée devait nous apporter des réponses, confirmer des dynamiques. Elle pose au contraire bis e domande. Les Bleus, pour qui tous les matchs seront une finale s’ils veulent aller chercher le Grand Chelem qui leur échappe depuis plus de dix ans, verront-ils ce rêve brisé en Ecosse de la prochaine journée? Qui des Irelands, Ecossais, Gallois, Anglais, tapis dans l’ombre, seront les plus habiles pour profiter du moindre faux-pas des joueurs de Fabien Galthié?
Seul le sort des Italiens, corrigés à domicile, semble déjà fixé. Franceinfo: sport vous proporre un retour sur les enseignements de la deuxième journée du Tournoi des sei nazioni.
La Francia, seule en tête
et de trois. Depuis l’arrivée de Fabien Galthié à la tête des Bleus, il XV de France a toujours remporté ses deux premiers matchs dans le Tournoi. À ceci près, que cette fois, la performance lui permet de revêtir le costume de seul leader invaincu et de seule équipe encore capace d’aller chercher le Grand Chelem. Malgré quelques trous d’air qui auraient pu coûter cher, ces Bleus-là ont su garder la tête froide et sortir vainqueurs (30-24) du duel contre l’Irlande, que beaucoup présentaient comme une finale.
Si les progrès, et notamment la montée en puissance de la charnière – en manque de rythme contre l’Italie – sont très incoraggianti pour la suite et le titre rêvé, les Bleus ne s’enflamment pas. Il ya quelques années, il gruppo di Guy Novès avait déjà remporté ses deux premiers match, contre l’Italie puis l’Irlande, avant d’enchaîner trois revers qui l’avait laissé à la cinquième place.
Face à des Ecossais, qui paraissent toujours aussi solides, il futuro déplacement a Murrayfield (26 février) aura lui aussi un air de finale. D’autant que les Tricolores restent sur trois défaites lors de leurs quatre derniers corrisponde a contre l’Ecosse. Surtout, les Bleus n’ont battu qu’à une seule riprende il XV du Chardon à Murrayfield depuis 2016.
Ecosse, Irlanda, Angleterre, Galles, des prétendants à la relance
Ils aspirant tous à la victoire finale et se tiendront à l’affût du moindre faux-pas tricolore. C’est le statu quo pour le quatuor britannique. Mieux partis grâce à une victoire de prestige (20-17) contre l’Angleterre et un succès sans bavure (29-7) face au pays de Galles, l’Ecosse et l’Irlande ont calé lors de cette deuxième journée.
Le premier a subi la loi du tenant en titre gallois. Les coéquipiers de Dan Biggar avaient à cœur de se racheter après avoir été à côté de leurs pompes lors du match d’ouverture. Porté par son ouvreur, le XV du Poireau, joueur, s’est imposé au bout du suspense (20-17) a Cardiff. C’est un combat tout aussi ardent que les Irelandis ont dû mener face aux Bleus. Sauf qu’eux sont tombés au Stade de France.
De leur côté, les joueurs de sa Majesté n’ont pas loupé l’occasione de redresser la sbarra. Après leurs revers à Murrayflield, ils ont dominé (33-0) senza briller des Italiens trop indisciplinés et maladroits pour espérer quoi que ce soit.
L’Italie déjà en souffrance
Face aux Anglais, les Italiens ont terminé the match fanny à domicile dans un stade clairsemé ouune partie des supporters a quitté les tribunes avant le coup de sifflet final. Il trasferimento in Irlanda lors de la prochaine journée n’annonce rien de bon pour les Transalpins, qui ne savent plus gagner dans le Tournoi des six Nations.
Si le destin des Italiens semble plus que jamais écrit – une nouvelle cuillère de bois leur pend déjà au nez – pour les autres, les jeux sont loin d’être faits. Les joutes franco-écossaises et le duel british entre l’Angleterre et le pays de Galles pourraient encore une fois redistribuer les cartes. Le rendez-vous est déjà pris pour la troisième journée (26 e 27 février).