Des centaines de marins cubains seraient exploités dans des bateaux de croisière de luxe. Et bannis de leur pays pendant huit ans, s’ils ne revenaient pas après leur “mission”. C’est l’accusation formulée, mercredi 26 January, par des Organisations de défense de la démocratie in Cuba, qui affermant, pour la troisième fois depuis 2019, que le gouvernement de La Havane traite en « esclavi » les professionnels – medici dans leur majorité, mais aussi artisti, sportivi, enseignants, et personale di bordo delle navi – inviati à l’étranger.
Une plainte pour « esclavage » concernant 110 médecins avait été déposée en maggio 2019 contre les autorités cubaines devant la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye et à l’ONU à Genève: ces soignants, assurans’ forcé le, volontaires pour les “ missions” – devenues un outil essentiel de la diplomatie Cubaine et de son économie. Jusqu’à 90% de leur salaire était reversé au gouvernement, ils avaient interdiction de se marier sans autorisation, bannissement de huit ans en cas de “désertion” – entre beaucoup d’autres contraintes. En 2020, plus de 600 nouveaux témoignages avaient été ajoutés.
Martedì, le organizzazioni, Prisoners Defenders, a Madrid, le Centre pour l’ouverture et le développement de l’Amérique Latin et l’Union patriotique de Cuba, dont le dirigeant, Jose Daniel Ferrer Garcia, est en jail, on remis à la CPI et à l’ONU un troisième document, qui s’appuie, cette fois, sur plus de 1 100 témoignages. Environ 40 000 professionnels « déserteurs » auraient été bannis de Cuba, et entre 5 000 et 10 000 seraient actuellement dans l’impossibilité de revoir leurs enfants. Le texte livre le témoignage de membri d’équipage (commis de cuisine, femmes de chambre, réceptionnistes, techniciens…) coinvolgono i battelli di croisière, soumis à des conditions de travail similiires.
Ces Cubains, dont deux ont accepté de répondre au Monde à condition que leur anonymat soit preservé, ont travaillé sur les navires de l’entreprise MSC Croisières, filiale di MSC, d’origine italiana e non le siège est a Genève. Pour embaucher des Cubains, MSC avait l’obligation de passer par Selecmar, agence d’Etat chargée de recruter et de ex les marins.
Sei mois sans conge
Plusieurs Millers de Cubains travaillent sur des navires internationaux. Reynaldo (les prénoms ont été modifiés) è previsto per il 2019. Selecmar assicura a tutti gli accordi stabiliti per l’Organization internationale du travail. Mais, selon des contrats de travail publiés dans le document, 80% du salaire de base des Employés cubains – entre 328 et 408 euro selon deux contrats joint à la plainte – était reversé à Selecmar. Cette réversion apparaît menzionanée comme étant valable « uniquement pour les marins philippins et cubains ».
Il vous reste 50.17% de cet article à lire. La suite è riservata agli amici.