Publié le 3 fevr. 2022 alle 15:40
C’est un arbitrage qui pourrait être décisif pour des milliers de Français. Le autorità sanitarie francesi se sont prononcées mardi en faveur d’une expérimentation – a échelle limitée – d’un dépistage systématique du cancer du poumon chez les fumeurs.
« C’est un pas très important, parce que c’est le cancer, sinon le plus fréquent, en tout cas le plus meurtrier avec 33,000 décès par an », a commenté le médecin Damien Mascret sur France 3. Le taux de survie, à cinq ans après le diagnostic, n’est que de 20%.
« Impegno di un programma pilota »
Dans son avis, la Haute autorité de santé (HAS) è ora che «l’état des connaissances est encore incompleto per la mise en place d’un program de dépistage systématique et organisé du cancer broncho-pulmonaire en France». Mais elle juge qu’il serait bienvenu de lancer «dès maintenant l’engagement d’un program pilote» pour tâter le terrain.
Dopo l’aggiornamento della precedente dichiarazione del 2016, in cui la HAS è stata déjà opposée à un dépistage organizzato per lo scanner du cancer du poumon. De nouvelles études ont été publiées entretemps sur l’interêt d’un tel dépistage chez les fumeurs, le cancer du poumon étant en grande majorité lié au tabagisme.
Ces travaux ne suffisent pas pour l’heure à faire changer la HAS d’avis quant à l’opportunité d’un vasto programma di dépistage, mais ils la conduisent à admettre l’interêt d’une expérimentation jet sur le. En effet, ces études tendent à montrer que le dépistage «chez les personnes ayant un osé augmenté de ce cancer réduit la mortalité spécifique de celui-ci», selon la HAS.
Pourquoi ces réticences ?
Actuellement, le cancer du poumon est souvent diagnostiqué à uno stadio tardif, généralement quand le malade presente déjà des symptômes. Car jusqu’à récemment, aucun moyen diagnostic ne permettait un dépistage précoce et efficace.
Si uno scanner thoracique, beaucoup plus précis qu’une simple radiographie, permet d’observer de très petite lésions à uno stade précoce, il n’est pas recommandé de l’utiliser de façon généralisée et répétée. Scanner Ces espongono en effet trop les individus aux rayons X.
Mais il existe désormais une alternative alternative: uno scanner thoracique à faible dose sans injection. « L’acquisition des images est faite à bas kilovoltage, diminuant insi la dose de rayons X nécessaires et l’image est ameliorée par l’utilisation d’algorithmes de ricostruzione », soutenait récemment la Fédération Nationale des Médecins Radiologues dans une tribune. « L’efficacia est telle que la dose utilisée est inférieure à celle d’une radiographie polmonaire standard».
Un rischio di «surdiagnostic»
Cette stratégie, par esempio en vigueur aux Etats-Unis, est défendue depuis plusieurs années par certis pneumologues, qui rimpianto la frilosité des autorités sanitaires françaises. Mais le dépistage organisé presente anche des risques en matère de santé publique. Les autorités craignent essentiellement un risque de «surdiagnostic» : repérer des tumeurs qui n’évolueraient de toute façon pas en cancer et, en conséquence, impor des traitementments lourds et inutiles au Patient.
Pour obtenir plus de certitudes, ‘des expérimentations françaises d’envergure sont necessaires pour permettre de répondre aux différents points en suspens et statuer sur les mode de dépistage les plus adaptellees au syst’éguéme frança er l’Institut national du cancer (INCa).
“Appassionato di alcol. Piantagrane. Introverso. Studente. Amante dei social media. Ninja del web. Fan del bacon. Lettore”.