domenica, Novembre 24, 2024
ScienzaFabrice Amedeo, uno skipper al servizio della scienza

Fabrice Amedeo, uno skipper al servizio della scienza

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Ce capteur, au niveau de la quille du bateau, se presente sotto la forma di un cassone contenant trois filtri destinés à collecter quotidiennement des microplastics de différentes tails sous réserve que les condition météent le. Un investimento forte: c’est une centaine de milliers d’euros dépensés et une cinquantaine de kilos de matériel scientifique lui pompe 15% d’énergie à bord.

C’est la que les scientifiques d’Epoc (Environnements et paleoenvironnements océaniques et continentaux) et du CBMN (Chimie et biologia delle membrane e dei nano-oggetti) entrent dans le jeu. Depuis deux ans, l’université de Bordeaux, en partenariat avec l’Ifremer et l’Institut de recherche pour lo développement, s’est association au navigationur pour mener des travaux de recherche sur l’inquinamento des océans par les microplastics.

« Su cherche à connaître les additifs »

« On ne connaît rien de la composition des plastiques. En soit, ce n’est pas le polymère qui est dangereux mais plutôt les additifs et les polluants. Su cherche à les connaître. Ils sont toxiques, et ils fuitent vite dans l’eau, puis dans le tube digestif des organismes qui les ont absorbés. Ce qui peut provoquer des perturbations endocriniennes, des tumeurs cancérigènes. Tout cela, il faut le vérifier, le démontrer », explique Jérôme Cachot, professeur des universités ecotoxicologie aquatique. C’est pour cela qu’au quotidien, une équipe d’une dizaine de personnes trie et class le matériel récolté par Fabrice Amedeo. 53 échantillons su 120 ont déjà été traités.

« On ne connaît rien de la composition des plastiques »

Mais la tâche est ardue, le travail de tri et d’analyse lent, d’une extrême minutie. C’est ce que le skippper est venu voir à l’Université de Bordeaux, justement, troquant le temps d’une journée son ciré pour une blusa bianca. Car le tri se fait sur trois tamis de 300, 100 et 30 micron. On est dans l’infiniment petit. Et tout se fait à la main et à l’œil.

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Jérôme Cachot, professeur des universités en ecotoxicologie aquatique, davanti a un panel de déchets plastiques triés.

Laurent Theillet

Le compte rendu d’études n’est pas encore public, mais une Choose est sûre. 63 % du contenu de chaque tamis contenait au moins un plastique. C’est une moyenne de due plastiques par mètre cube récupéré.

« L’objectif est maitenant de cartographier les océans Indien et Pacifique »

« La raccolta di materiali per zone reculées va nous aiutante à cartographier le contenu des eaux de surface des océans, de determiner la nature des microplastics et leur toxicité, de comprendre le vieillissement des plastiques par la a colonization en milieu. C’est un gros challenge», insiste le professeur.

Si les échantillons prélevés par lo skipper ont permis de faire un premier état des lieux, surtout dans l’océan Atlantique. L’oggetto del servizio di ecotossicologia acquatica serait maintenant de cartographier les océans Indien et Pacifique. Ça tombbe bien, Fabrice Amedeo est décidé à repartir, il prépare actuellement ses prochaines course, la Transat Jacques-Vabre dans 200 jours et le Vendée Globe en 2024.

Fabrice Amedeo a rencontré les chercheurs du campus bordelais ce jeudi 3 février.
Fabrice Amedeo a rencontré les chercheurs du campus bordelais ce jeudi 3 février.

Laurent Theillet

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